La Guerre du proprio
J’ai enfin trouvé la location idéale dans cette ville hors de prix que je ne peux pas quitter. Le problème ? Le propriétaire insupportable est aussi le meilleur ami de mon nouveau coloc.
Max Burrows est issu de l’une des familles les plus riches de San Francisco — et moi, d’une des plus pauvres.
Nous n’avons rien en commun. Max est grand, musclé, avec le charme ravageur d’une statue grecque, tandis que moi, j’essaie juste d’éviter les taches sur ma blouse.
Sous prétexte de voir son pote, il s’incruste tout le temps dans l’appart’, balance mes secrets les plus honteux à mes rencards potentiels et me vole mon chocolat hors de prix.
Ce mec est une plaie. Sauf que… plus je le côtoie, plus je me demande s’il ne sabote pas volontairement mes chances avec les autres.
Puis, je me rappelle que sa mère me considère comme la bonne, que son ex — riche, sublime — est bien décidée à le reconquérir.
Son monde n’a rien à voir avec le mien. Jamais un type comme lui ne pourrait me prendre au sérieux.
Mais après ce presque-baiser dans la cuisine, je commence à me demander si cette attirance est vraiment à sens unique.
La Guerre du proprio est une romance grumpy-sunshine, façon Cendrillon revisitée, avec une pincée d’ennemis à amants. Ce roman standalone vous promet des frissons, des grands gestes romantiques et un happy end comme on les aime.